Dennis Coffey - Dennis Coffey
Dennis Coffey s’est fait discret durant ces trente dernières années, mis à part quelques disques de blues au son un peu cheap. Il revient avec un disque éponyme, épaulé par quelques noms ronflants de la scène soul/funk actuelle et d’autre plus insolites.
Le disque reflète les diverses influences du guitariste de Detroit. On peut aisément passer d’un morceau de funk brut Miss Millie où la saturation de sa guitare accompagne parfaitement les cuivres épileptiques des Kings Go Forth à une funk plus spatiale mais non moins groovy avec Space Traveler. Ce dernier titre démontre que le compositeur de Scorpio demeure toujours une valeur sûr dans la funk instrumentale. Le disque reste donc majoritairement funky et débauche pour l’occasion la voix d’Orgone, Fanny Franklyn (Don’t Knock my Love Part 1 & 2).
Avec un si lourd passif dans la Motown, il ne pouvait pas renier ses origines et le Somebody’s been sleeping n’est pas sans rappeler quelques grands noms de la maison de disque de Detroit.
Le son est parfois un peu trop propre, par rapport aux productions habituelles du label de la perfide Albion, mais s'inscrit tout de même dans la tradition des disques de Strut.
Le disque reflète les diverses influences du guitariste de Detroit. On peut aisément passer d’un morceau de funk brut Miss Millie où la saturation de sa guitare accompagne parfaitement les cuivres épileptiques des Kings Go Forth à une funk plus spatiale mais non moins groovy avec Space Traveler. Ce dernier titre démontre que le compositeur de Scorpio demeure toujours une valeur sûr dans la funk instrumentale. Le disque reste donc majoritairement funky et débauche pour l’occasion la voix d’Orgone, Fanny Franklyn (Don’t Knock my Love Part 1 & 2).
Avec un si lourd passif dans la Motown, il ne pouvait pas renier ses origines et le Somebody’s been sleeping n’est pas sans rappeler quelques grands noms de la maison de disque de Detroit.
Le son est parfois un peu trop propre, par rapport aux productions habituelles du label de la perfide Albion, mais s'inscrit tout de même dans la tradition des disques de Strut.
