Jill Scott - Beautifully Human
Le son de Philadelphie est de retour en cette rentrée 2004 avec le dernier opus de « J.I.L.L. S.C.O.T.T. ». L’artiste créa la surprise en 2000 avec « Who’s Jill Scott ? », un album réussit qui a fait parler de lui aux Etats-Unis mais aussi en Europe. Pourtant la recrue de Jazzy Jeff n’est toujours pas très connue du grand public malgré le succès du tube « Gettin the way »
C’est peut être pourquoi Hidden Beach et Jazzy Jeff (son producteur) auront l’intelligence de balancer dans les bacs en 2002 un disque Live avec 6 inédits, histoire de la laisser dans la course avec les chanteuses de la Motown (India Arie, Erykah Badu) ou encore toutes les autres signatures new soul de l’époque. Finalement ce côté underground ce n'est peut être pas plus mal… Pour ce nouvel album les productions y sont encore plus abouties et l’univers de l’artiste encore plus affirmé avec presque aucun compromis si ce n‘est pour « Golden » qui est plus ciblé et traité pour passer en radio avec un refrain accrocheur sans être pour autant aguicheur comme peuvent l’être les « Radio Edit ».
Comme pour le précédent l’artiste n’a pas mis de côté le slam de son adolescence, les textes restent poétiques, profond et inspirés.
La voix de la chanteuse est encore plus surprenante dans « Beautifully Human » par sa diversité de couleurs, de styles et par la musicalité de son débit. « Bedda at home » est dans l’esprit même de ce qui appréciable dans la "Néo Soul" : du gros son Hip Hop et des voix enregistrées comme si elle chantait en live, avec une version acoustique en prime pour prolonger le plaisir de quelques minutes supplémentaires.
Cette chanteuse slammeuse nous emmène au fil des chansons dans l’antre de son héritage du
jazz d’Ella Fitzgerald, autant que de la Soul « R.E.S.P.E.CT » d’ Aretha Franklin.
Ecouter et acheter ce disque
C’est peut être pourquoi Hidden Beach et Jazzy Jeff (son producteur) auront l’intelligence de balancer dans les bacs en 2002 un disque Live avec 6 inédits, histoire de la laisser dans la course avec les chanteuses de la Motown (India Arie, Erykah Badu) ou encore toutes les autres signatures new soul de l’époque. Finalement ce côté underground ce n'est peut être pas plus mal… Pour ce nouvel album les productions y sont encore plus abouties et l’univers de l’artiste encore plus affirmé avec presque aucun compromis si ce n‘est pour « Golden » qui est plus ciblé et traité pour passer en radio avec un refrain accrocheur sans être pour autant aguicheur comme peuvent l’être les « Radio Edit ».
Comme pour le précédent l’artiste n’a pas mis de côté le slam de son adolescence, les textes restent poétiques, profond et inspirés.
La voix de la chanteuse est encore plus surprenante dans « Beautifully Human » par sa diversité de couleurs, de styles et par la musicalité de son débit. « Bedda at home » est dans l’esprit même de ce qui appréciable dans la "Néo Soul" : du gros son Hip Hop et des voix enregistrées comme si elle chantait en live, avec une version acoustique en prime pour prolonger le plaisir de quelques minutes supplémentaires.
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