What the Funk #22 - 26 Novembre 2005 - Snowboy & Asko
Snowboy ( Chilli Funk.uk )
Rares sont les artistes que l’opinion générale qualifie de référence dans différents courants musicaux à la fois. C’est le cas de Mark Cotgrove alias Snowboy qui endosse fièrement les étiquettes de pionniers de la Soul et de gourou de la musique afro – cubaine en angleterre. En l’espace de 25 ans, il a cumulé avec succès les carrières de DJ érudie, de compileur éclairé, de compositeur - remixeur génial et de percussionniste surdoué.
Mais c’est en tant que DJ qu’il se fait tout d’abord remarquer dés l’age de 17 ans. C’est sets sont alors inspirés par l’age d’or du club The Goldmine où tout le monde se précipite pour danser sur la meilleure black music du pays. Snowboy devient rapidement un des leader de la vague Jazz Dance (plus tard rebaptisée Acid Jazz) qui déferle sans partage dans tous les clubs branchés.
Puis, du DJing, il passe à la compilation et à la composition et attire très vite les labels du genre. Après un premier carton avec une face B appelée « When Snowboy’s Rocking The Mike » ( « Bring On The Beat » en face A ), titre produit par une connaissance sur lequel il rappe, Cotgrove se voit projeté comme résident des premières soirées rap d’angletterre du coté de Soho.
En 1988, il est sollicité par Eddie Piller et Gilles Peterson , fondateurs du label émergeant Acid Jazz Records, pour sortir un premier album « Ritmo Snowbo » déjà influencé par les penchants latins de l’artiste. Il s’en suivra 7 albums au sein du célèbre label (et des apparitions dans la quasi – totalité du catalogue) dont « Something’s Comming » en 1994 qui atteint le TOP 10 des charts devant Depeche Mode et The Smiths. Phénomène étonnant lorsque l’on sait que cet opus est dédié à la musique afro – cubaine mais produit par des spécialistes de l’Acid Jazz et du Funk.
Grand amoureux des rythmes latins, Snowboy devient en parallèle un percussionniste professionnel dont le grand talent lui permet de jouer en tournée avec Lisa Stanfield , Basia (ex – chanteuse de Matt Bianco) ou James Taylor Quartet . Son impact est tel qu’un professeur de l’université de Yale, spécialiste de la culture afro – Cubaine a déclaré que Snowboy avait fait autant pour cette culture en angleterre que les Beatles pour le Rock ! Pas étonnant donc de le voir figurer dans le Who’s Who de la musique latine.
Au jour d’aujourd’hui, Snowboy compte 12 albums et 18 singles à son actif (produits par Acid Jazz Records, CU BOP, Polydor, Ubiquity et dernièrement par Chilli Funk avec une participation sur le single des Interns « It’s About Time ») qui ont inspiré des remix de Coldcut et de Joe Clausell. Des shows d’Incognito, du James Taylor Quartet et de Mother Earth sont encore imprégnés de son passage.
C’est toutefois à l’occasion de sa participation exceptionnelle aux soirées What The Funk que Snowboy revient à ses premiers amours en nous faisant partager les ambiances des plus grands clubs anglais de musique Soul, matinée de Latin Jazz et de Funk.
Mais c’est en tant que DJ qu’il se fait tout d’abord remarquer dés l’age de 17 ans. C’est sets sont alors inspirés par l’age d’or du club The Goldmine où tout le monde se précipite pour danser sur la meilleure black music du pays. Snowboy devient rapidement un des leader de la vague Jazz Dance (plus tard rebaptisée Acid Jazz) qui déferle sans partage dans tous les clubs branchés.
Puis, du DJing, il passe à la compilation et à la composition et attire très vite les labels du genre. Après un premier carton avec une face B appelée « When Snowboy’s Rocking The Mike » ( « Bring On The Beat » en face A ), titre produit par une connaissance sur lequel il rappe, Cotgrove se voit projeté comme résident des premières soirées rap d’angletterre du coté de Soho.
En 1988, il est sollicité par Eddie Piller et Gilles Peterson , fondateurs du label émergeant Acid Jazz Records, pour sortir un premier album « Ritmo Snowbo » déjà influencé par les penchants latins de l’artiste. Il s’en suivra 7 albums au sein du célèbre label (et des apparitions dans la quasi – totalité du catalogue) dont « Something’s Comming » en 1994 qui atteint le TOP 10 des charts devant Depeche Mode et The Smiths. Phénomène étonnant lorsque l’on sait que cet opus est dédié à la musique afro – cubaine mais produit par des spécialistes de l’Acid Jazz et du Funk.
Grand amoureux des rythmes latins, Snowboy devient en parallèle un percussionniste professionnel dont le grand talent lui permet de jouer en tournée avec Lisa Stanfield , Basia (ex – chanteuse de Matt Bianco) ou James Taylor Quartet . Son impact est tel qu’un professeur de l’université de Yale, spécialiste de la culture afro – Cubaine a déclaré que Snowboy avait fait autant pour cette culture en angleterre que les Beatles pour le Rock ! Pas étonnant donc de le voir figurer dans le Who’s Who de la musique latine.
Au jour d’aujourd’hui, Snowboy compte 12 albums et 18 singles à son actif (produits par Acid Jazz Records, CU BOP, Polydor, Ubiquity et dernièrement par Chilli Funk avec une participation sur le single des Interns « It’s About Time ») qui ont inspiré des remix de Coldcut et de Joe Clausell. Des shows d’Incognito, du James Taylor Quartet et de Mother Earth sont encore imprégnés de son passage.
C’est toutefois à l’occasion de sa participation exceptionnelle aux soirées What The Funk que Snowboy revient à ses premiers amours en nous faisant partager les ambiances des plus grands clubs anglais de musique Soul, matinée de Latin Jazz et de Funk.
DJ Asko ( Press Record – Generations 88.2 )
L’as du KO est un activiste de la première heure. Ayant commencé avec le groupe de Graffiti Artists CBA Crew dans les années 80, il fait aujourd’hui figure de pionnier du son à l’ancienne tout d’abord sur les ondes, dans l’Hypnotik Show sur Radio Nova de 94 à 96 (avec DJ Clyde), puis désormais sur Générations 88.2 dans Press Record chaque vendredi (à partir de 22H), une des émissions les plus excitantes de la bande FM sur la Old School. C’est aussi dérrière les platines que Asko s’est fait un nom. A son habituel vitesse de 100 disques à l’heure, il distille le meilleur des années dorées de la black music aussi bien en Funk Soul qu’en Hip Hop. Il est aussi un dealer de mixtape insatiable. La plus connue d’entre elle, « Funk Jewel » est sortie en 2000, et fait encore danser les puristes.
Pour son premier passage aux soirées What The Funk, il défendra avec Soulist les couleurs hexagonales..
Pour son premier passage aux soirées What The Funk, il défendra avec Soulist les couleurs hexagonales..
Soulist ( What The Funk )
Le DJ – Producteur, résident incontestable des soirées What The Funk, continue d’émoustiller les oreilles en délivrant des sets qui vous donnent irrémédiablement la bougeotte et vous provoque un large et lumineux sourire.
Fin programmateur pour les soirées qu’ils organisent (WTF, DJ’s & Gentlemen, Weplay Party etc.), il fait découvrir à son public de plus en plus nombreux, des artistes dont l’explosion artistique est imminente. La révélation Soul Alice Russell en est le dernier exemple en date.
Mais c’est derrière les platines que Soulist est redoutable, distillant autant ses efficaces sélections Funk - Breakbeat, que ses sons improbables composés de covers, trouvailles et autres raretés aussi magiques les unes que les autres.
Son éclectisme et sa culture musicale lui ont permis d’assurer récemment et avec brio les premières parties de Sharon Jones & The Dap Kings, Common et Alice Russell ainsi que les associations avec le Goldrush Crew, DJ Prosper, TM Juke, DJ Chabin ou DJ Kantes (Sporto Kantes).
Peu nombreux sont ceux qui résistent longtemps à ses « Soulisteries ».
Fin programmateur pour les soirées qu’ils organisent (WTF, DJ’s & Gentlemen, Weplay Party etc.), il fait découvrir à son public de plus en plus nombreux, des artistes dont l’explosion artistique est imminente. La révélation Soul Alice Russell en est le dernier exemple en date.
Mais c’est derrière les platines que Soulist est redoutable, distillant autant ses efficaces sélections Funk - Breakbeat, que ses sons improbables composés de covers, trouvailles et autres raretés aussi magiques les unes que les autres.
Son éclectisme et sa culture musicale lui ont permis d’assurer récemment et avec brio les premières parties de Sharon Jones & The Dap Kings, Common et Alice Russell ainsi que les associations avec le Goldrush Crew, DJ Prosper, TM Juke, DJ Chabin ou DJ Kantes (Sporto Kantes).
Peu nombreux sont ceux qui résistent longtemps à ses « Soulisteries ».
A La Maroquinerie
23 rue Boyer 75020 PARIS
M° Ménilmontant Bus 96 (jusqu'à minuit)
De minuit à l'aube
Entrée 10 € avant 1H - 12 € après
23 rue Boyer 75020 PARIS
M° Ménilmontant Bus 96 (jusqu'à minuit)
De minuit à l'aube
Entrée 10 € avant 1H - 12 € après
