James Brown - Coldblooded - 1974

Michel Guinand

Vous voulez savoir si un album mérite le terme de funk ?
Soumettez le au test, approchez vous de cet engin, s’il vous plait…

Alors ?, rien ?, comment rien ?… Il doit bien y avoir quelque chose quand même, vous prétendiez à l’instant que…

Je plaisante bien sur, une telle machine n’existe pas autre part que dans le discernement plus ou moins objectif de chacun…

James brown aura été , et restera pour la musique ce que Richter est pour les secousse sismiques, une échelle…

En 1974, en plein mois d’Aout, un nouvel album débarquera, et viendra une nouvelle fois conforter chacun sur la légitimité de son titre., Il est la référence indétrônable, et l’on sait qu’hormis quelques vulcanologues réputés, rien ni personne n’aura approché le feu de si près…

Alors voici, pour vous soumettre au test « Coldblooded » qui ouvre le bal sur ce double album, écartez vous, et voyez comment la température va monter irrémédiablement..

Un morceau aussi radioactif que le radium, aussi lourd que le mercure, et aussi chaud que la lave du volcan laissant derrière elle pour les millénaires à suivre une croute sur laquelle repoussera d’autres espèces.


Commentaires (1)
1. Madame Zasa le 29/11/2010 22:32
Effectivement ça sent le chaud^^!!!...
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