Ebo Taylor : Love & Death
Strut records n'en finit plus de nous ressortir des pépites africaines et encore une fois, à l'image de la collaboration entre Mulatu Astatke et les Heliocentrics, le label allemand a monté une belle équipe. Composé d'Ebo Taylor et de l'Afrobeat Academy (certains issus des Poets Of Rhythm, collectif basé à Berlin), ce petit monde s'entend comme larron en foire sur cet album.
Ebo Taylor est une ancienne gloire du Highlife (musique ghanéenne des années 50 , à l'origine de l'afrobeat, marquée par des cuivres jazzy et des guitares ). Il revient ici accompagné de J. Whitefield à la guitare, épaulé par les cuivres de l'Afrobeat Academy. Sa voix, malgré les années passées est toujours là ( Obra et Love & Death ) et se fond parfaitement avec le collectif allemand. Cet album est l'occasion pour Ebo Taylor de nous rejouer certains de ses anciens standards et de nous proposer des nouvelles compositions. Enregistré au Lovelite Studio, le son est très bon et s'inscrit dans la pure tradition des disques africains.
La seule motivation d'Ebo Taylor : maintenir en vie l'afrobeat et continuer l'oeuvre de Fela.
C'est pas l'homme en slip blanc qui lui en voudra.
Ebo Taylor est une ancienne gloire du Highlife (musique ghanéenne des années 50 , à l'origine de l'afrobeat, marquée par des cuivres jazzy et des guitares ). Il revient ici accompagné de J. Whitefield à la guitare, épaulé par les cuivres de l'Afrobeat Academy. Sa voix, malgré les années passées est toujours là ( Obra et Love & Death ) et se fond parfaitement avec le collectif allemand. Cet album est l'occasion pour Ebo Taylor de nous rejouer certains de ses anciens standards et de nous proposer des nouvelles compositions. Enregistré au Lovelite Studio, le son est très bon et s'inscrit dans la pure tradition des disques africains.
La seule motivation d'Ebo Taylor : maintenir en vie l'afrobeat et continuer l'oeuvre de Fela.
C'est pas l'homme en slip blanc qui lui en voudra.
