Fred Wesley & The New Jb's - 07.07.09
Fred ! T’en es à tes combientièmes de New Jb’s ??!!!
Peu importe ! Tant que devant « New Jb’s » on trouve « Fred Wesley », on sait que c’est la garantie d’une soirée où les attaques de trombone vont voler bas, juste au dessus d’un groove solidement maitrisé.
Quelques soient les Jb’s qui l’accompagnent, Fred fait à quelques variations près, des sets similaires concerts après concerts. Malgré ça, les réceptions parisiennes de Fred Wesley sont toujours une réussite pourtant aucun Ferrero Roche d’Or n’y est servi. D’abord parce que le funk pur jus y est roi, et que les classiques immortels sortis de ses poumons (les Pass The Peas, Breakin’ Bread et autres House Party) s’emboitent parfaitement avec les nouveautés (dont l’explosif Funk For Your Ass, et c’est bien à cet endroit que le solo de guitare s’est introduit jusqu’au manche) et dans les envolées jazz qu’il affectionne tant (un Watermelon Man rendu encore plus caoutchouteux par un emploi massif du clavinet). Ensuite parce que Fred Wesley est tout simplement The Best Trombone Player Ever, la légende vivante qui fait souffler son vent cuivré depuis 40 ans. Fred a beau revenir à Paris cycliquement tous les étés, c’est toujours jubilatoirement funk, frénétiquement dansant, contagieusement festif.
On pourra juste s’indigner et hurler au remboursement en constatant que la période P-Funk n’était ce soir là pas de la partie alors que les balances laissaient présager un Night Of Thumpasorus People en final. Mais on ne le remerciera jamais assez, alors même que la Terre entière rendait hommage à Michael Jackson dans un déluge de bons sentiments digne des grands messes de la secte Moon, d’avoir eu la très bonne idée de ne pas nous imposer un hommage « On ne va pas vous jouer du Michael Jackson, vous en entendez surement assez en ce moment à la télé et à la radio ».
Merci éternel.
Peu importe ! Tant que devant « New Jb’s » on trouve « Fred Wesley », on sait que c’est la garantie d’une soirée où les attaques de trombone vont voler bas, juste au dessus d’un groove solidement maitrisé.
Quelques soient les Jb’s qui l’accompagnent, Fred fait à quelques variations près, des sets similaires concerts après concerts. Malgré ça, les réceptions parisiennes de Fred Wesley sont toujours une réussite pourtant aucun Ferrero Roche d’Or n’y est servi. D’abord parce que le funk pur jus y est roi, et que les classiques immortels sortis de ses poumons (les Pass The Peas, Breakin’ Bread et autres House Party) s’emboitent parfaitement avec les nouveautés (dont l’explosif Funk For Your Ass, et c’est bien à cet endroit que le solo de guitare s’est introduit jusqu’au manche) et dans les envolées jazz qu’il affectionne tant (un Watermelon Man rendu encore plus caoutchouteux par un emploi massif du clavinet). Ensuite parce que Fred Wesley est tout simplement The Best Trombone Player Ever, la légende vivante qui fait souffler son vent cuivré depuis 40 ans. Fred a beau revenir à Paris cycliquement tous les étés, c’est toujours jubilatoirement funk, frénétiquement dansant, contagieusement festif.
On pourra juste s’indigner et hurler au remboursement en constatant que la période P-Funk n’était ce soir là pas de la partie alors que les balances laissaient présager un Night Of Thumpasorus People en final. Mais on ne le remerciera jamais assez, alors même que la Terre entière rendait hommage à Michael Jackson dans un déluge de bons sentiments digne des grands messes de la secte Moon, d’avoir eu la très bonne idée de ne pas nous imposer un hommage « On ne va pas vous jouer du Michael Jackson, vous en entendez surement assez en ce moment à la télé et à la radio ».
Merci éternel.
LIENS
www.funkyfredwesley.com
www.myspace.com/abrahamincmusic
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Tous nos articles sur Fred Wesley >>> ici
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Fred Wesley en concert >>> voir les dates
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