Galactic en concert au Nouveau Casino, le 7 Mars 2008
Tout a commencé par un coup de grosse caisse cataclysmique assez puissant pour faire faire un salto avant au curry de poulet alors en phase I de digestion.
On savait que les Galactiques faisaient les beaux jours de Madrid, ce qu’on savait moins c’est que Galactic ferait le beau soir du Nouveau Casino. Pas de joueurs gagnant l’équivalent du PIB d’un pays Africain, pas de stade bourré à craquer, pas de public aux couleurs de l’équipe (alors que Galactic est peut-être le seul groupe qui vend des slips kangourous frappé à son nom. Véridique), mais un quintet tout droit sorti des alambics de contrebande de la Nouvelle Orléans venu à Paris tabasser un funk dru. Ou plus exactement un jazz-funk dru, cadenassé à double tour par une rythmique inflexible, cisaillé par une guitare métronomique osant parfois le riff JamesBrownien, et assailli d’insinuations de claviers, de saxo crasseux et d’harmonicas incantatoires.
Avec un tel alliage, rien de plus facile que de dérouler son show jusqu’à la dernière note en enchainant collectif et échappées en solitaire. Quand on est venu seuls. Pas quand on a fait un détour pour aller débaucher 2 gâchettes lyricales, à savoir Boot Riley (from The Coup) et Chali 2na de Jurassic Five (qui avait la garde de son « petit » frère format XXXL). Et comme Galactic sait recevoir, une formule adaptée à chacun était prévue : funk tendu et martial pour Boot, orientation plus fun et festive pour Chani. Tout le monde s’étant fixé rendez-vous pour un final avec en bonus une reprise d’Immigrant Song du Zeppelin.
« Terrible le concert, ça joue grave depuis un quart d’heure ! Ah non ça fait déjà 1 H. 45… »
On savait que les Galactiques faisaient les beaux jours de Madrid, ce qu’on savait moins c’est que Galactic ferait le beau soir du Nouveau Casino. Pas de joueurs gagnant l’équivalent du PIB d’un pays Africain, pas de stade bourré à craquer, pas de public aux couleurs de l’équipe (alors que Galactic est peut-être le seul groupe qui vend des slips kangourous frappé à son nom. Véridique), mais un quintet tout droit sorti des alambics de contrebande de la Nouvelle Orléans venu à Paris tabasser un funk dru. Ou plus exactement un jazz-funk dru, cadenassé à double tour par une rythmique inflexible, cisaillé par une guitare métronomique osant parfois le riff JamesBrownien, et assailli d’insinuations de claviers, de saxo crasseux et d’harmonicas incantatoires.
Avec un tel alliage, rien de plus facile que de dérouler son show jusqu’à la dernière note en enchainant collectif et échappées en solitaire. Quand on est venu seuls. Pas quand on a fait un détour pour aller débaucher 2 gâchettes lyricales, à savoir Boot Riley (from The Coup) et Chali 2na de Jurassic Five (qui avait la garde de son « petit » frère format XXXL). Et comme Galactic sait recevoir, une formule adaptée à chacun était prévue : funk tendu et martial pour Boot, orientation plus fun et festive pour Chani. Tout le monde s’étant fixé rendez-vous pour un final avec en bonus une reprise d’Immigrant Song du Zeppelin.
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www.galacticfunk.com
www.myspace.com/galactic
www.anti.com
Discographie sur djouls.com/galactic
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Galactic en concert >>> voir les dates
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