Un moment de pur plaisir…
C’est sans connaître Alice Russel que je me suis rendu à la Maroquinerie à Paris le 9 juin 2007 à l’occasion de la soirée « What the funk », et croyez moi ou non j’y retournerai ce soir sans hésiter, quitte à annuler un rencard...Encore faudrait il que j’en ai !
Un bref descriptif pour celles et ceux qui ne connaissent pas la maroquinerie.
Après avoir bu une pinte ou deux dans la cour intérieure (à 5 euros qui dit mieux ?), il vous faudra descendre d’un étage pour assister au concert. Personnel super, barman dispo et serveuses souriantes ce qui se fait rare mais je sors peut-être dans les mauvais endroits.
Deux escaliers plus tard j’entre dans un amphithéâtre ultra convivial et bouillonnant à l’arrivée d’Alice et son groupe. Je comprends vite que je suis un des rare à ne pas connaître un seul de ses morceaux mais je fais autant de bruit que les autres pour passer inaperçu.
Je ne sais pas par où commencer, par la voix peut-être… Alice n’a rien à envier aux plus grandes divas black ce qui est très surprenant la première fois qu’on l’écoute et qu’on la voit en même temps étant donné que c’est une ravissante jeune femme toute blonde et surtout toute blanche venu rien que pour nous de Brighton !! Hyper décontracté et très communicative avec son public j’avoue ne pas avoir tout compris à ce qu’elle nous a dit avec son accent. J’ai fait comme tout le monde, j’ai ris quand elle nous parlait mais moi au moins j’avoue que je n’ai pas tout compris !!!
Passons à ses musiciens mais aussi et surtout à son choriste. Un pur produit anglais, amateur de bière et de tabac mais avec une voix tout droit venu de la planète soul et qui n’hésite pas à attraper son violon électronique sur certains morceaux.
Le guitariste en veste et cravate joue sur une Gibson Les paul à la B.B King chose inhabituele pour le style mais tout aussi original et franchement ça groove!!! J’entends déjà certains d’entre vous me dire que je parle de groove sans parler de la basse, mais pour ça il faut me laisser le temps d’écrire et ne vous inquiétez pas le bassiste fait très bien son travail.
Caché derrière sa batterie je n’ai pu qu’apercevoir le responsable de mes nombreux clappements de mains voire « double clappements » et si la basse fait bouger la tête, la batterie elle, fait taper du pied ! Servi avec un clavier électronique délicieux qui excelle tout autant dans les mélodies que dans les solos de « basse-piano » le tout donne un cocktail détonnant de soul/funk mis au goût du jour à consommer sans modération aussi bien avec vos potes qu’avec votre copine pour les plus chanceux d’entre nous ! Mention spéciale à l’ingénieur du son qui a fait un travail génial.
Merci Alice.
C’est sans connaître Alice Russel que je me suis rendu à la Maroquinerie à Paris le 9 juin 2007 à l’occasion de la soirée « What the funk », et croyez moi ou non j’y retournerai ce soir sans hésiter, quitte à annuler un rencard...Encore faudrait il que j’en ai !
Un bref descriptif pour celles et ceux qui ne connaissent pas la maroquinerie.
Après avoir bu une pinte ou deux dans la cour intérieure (à 5 euros qui dit mieux ?), il vous faudra descendre d’un étage pour assister au concert. Personnel super, barman dispo et serveuses souriantes ce qui se fait rare mais je sors peut-être dans les mauvais endroits.
Deux escaliers plus tard j’entre dans un amphithéâtre ultra convivial et bouillonnant à l’arrivée d’Alice et son groupe. Je comprends vite que je suis un des rare à ne pas connaître un seul de ses morceaux mais je fais autant de bruit que les autres pour passer inaperçu.
Je ne sais pas par où commencer, par la voix peut-être… Alice n’a rien à envier aux plus grandes divas black ce qui est très surprenant la première fois qu’on l’écoute et qu’on la voit en même temps étant donné que c’est une ravissante jeune femme toute blonde et surtout toute blanche venu rien que pour nous de Brighton !! Hyper décontracté et très communicative avec son public j’avoue ne pas avoir tout compris à ce qu’elle nous a dit avec son accent. J’ai fait comme tout le monde, j’ai ris quand elle nous parlait mais moi au moins j’avoue que je n’ai pas tout compris !!!
Passons à ses musiciens mais aussi et surtout à son choriste. Un pur produit anglais, amateur de bière et de tabac mais avec une voix tout droit venu de la planète soul et qui n’hésite pas à attraper son violon électronique sur certains morceaux.
Le guitariste en veste et cravate joue sur une Gibson Les paul à la B.B King chose inhabituele pour le style mais tout aussi original et franchement ça groove!!! J’entends déjà certains d’entre vous me dire que je parle de groove sans parler de la basse, mais pour ça il faut me laisser le temps d’écrire et ne vous inquiétez pas le bassiste fait très bien son travail.
Caché derrière sa batterie je n’ai pu qu’apercevoir le responsable de mes nombreux clappements de mains voire « double clappements » et si la basse fait bouger la tête, la batterie elle, fait taper du pied ! Servi avec un clavier électronique délicieux qui excelle tout autant dans les mélodies que dans les solos de « basse-piano » le tout donne un cocktail détonnant de soul/funk mis au goût du jour à consommer sans modération aussi bien avec vos potes qu’avec votre copine pour les plus chanceux d’entre nous ! Mention spéciale à l’ingénieur du son qui a fait un travail génial.
Merci Alice.