Kyle Jason - Revolution of The Cool
Passé un peu inaperçu à sa sortie, je reviens sur ce disque qui a longtemps squatté ma platine.
A mi chemin entre Prince tendance « Sexy motherfucker » et James Brown on trouve Kyle Jason mais la filiation est large et ce serait lui faire affront de que réduire son talent à ces deux influences majeures. Difficile pourtant de ne pas entendre dans sa musique ces maîtres.
Kyle Jason est originaire de Long Island (NY) et il signe ici son deuxième album sur le label de Chuck D. Il a travaillé dans l’ombre pendant plus de 10 ans aux côtés du rappeur mais aussi pour des collaborations avec Prince (En 1998, il le rencontre à Paisley Park et enregistre avec lui dans la foulée.), George Clinton, Bootsy Collins, Frankie Beverly et MAZE, Mavis Staples, les Bar-Kays, Bootsy Collins et écumé les salles de concerts.
C’est vous dire s’il est allé à bonne école !
Cet album s’écoute d’une traite avec une logique dans l’enchaînement et une aisance qui m’ont laissé pantoise.
Kyle que l’on sent être une bête de scène nous guide à travers les méandres de ses inspirations, entre funk et soul puis jazz.
Premier morceau « People, people » pose les fondations, basse lourde, piano jazzy qui survole la mélodie et la voix de Kyle qui se pose à la D’Angelo. Le ton est donné, le monsieur va nous emmener en ballade. On reste dans cette énergie tout le long du disque, les morceaux s’enchaînent avec des interludes d’inspiration hip hop ou les voix des musiciens.
Avec toujours ce piano en filigrane qui instille ses légères touches ou ces cuivres jazzy…
Entre jazz, nu soul, hip hop et funk à la James Brown
Une des révélations de l’année 2005 à mon goût et je n’ai qu’une hâte : le voir dès que possible sur scène !
A mi chemin entre Prince tendance « Sexy motherfucker » et James Brown on trouve Kyle Jason mais la filiation est large et ce serait lui faire affront de que réduire son talent à ces deux influences majeures. Difficile pourtant de ne pas entendre dans sa musique ces maîtres.
Kyle Jason est originaire de Long Island (NY) et il signe ici son deuxième album sur le label de Chuck D. Il a travaillé dans l’ombre pendant plus de 10 ans aux côtés du rappeur mais aussi pour des collaborations avec Prince (En 1998, il le rencontre à Paisley Park et enregistre avec lui dans la foulée.), George Clinton, Bootsy Collins, Frankie Beverly et MAZE, Mavis Staples, les Bar-Kays, Bootsy Collins et écumé les salles de concerts.
C’est vous dire s’il est allé à bonne école !
Cet album s’écoute d’une traite avec une logique dans l’enchaînement et une aisance qui m’ont laissé pantoise.
Kyle que l’on sent être une bête de scène nous guide à travers les méandres de ses inspirations, entre funk et soul puis jazz.
Premier morceau « People, people » pose les fondations, basse lourde, piano jazzy qui survole la mélodie et la voix de Kyle qui se pose à la D’Angelo. Le ton est donné, le monsieur va nous emmener en ballade. On reste dans cette énergie tout le long du disque, les morceaux s’enchaînent avec des interludes d’inspiration hip hop ou les voix des musiciens.
Avec toujours ce piano en filigrane qui instille ses légères touches ou ces cuivres jazzy…
Entre jazz, nu soul, hip hop et funk à la James Brown
Une des révélations de l’année 2005 à mon goût et je n’ai qu’une hâte : le voir dès que possible sur scène !
