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Bien dommage entre nous qu’elles se soient arrêtées quelques temps après, ces compilations Pure…

Car au regard de leur contenu, personne dans le genre n’aura approché de si prêt la perfection.

Ils en auraient encore sorti une vingtaine que je les aurai probablement toutes, une richesse, une sélection de titres tous aussi obscures les uns des autres, comme on dit dans le milieu : rien à jeter.

Vous pensez comme moi, qu’il est somme toute normal qu’elles auraient pu s’éssouffler un temps, et devoir arrêter pour laisser leurs place libre, afin que d’autres reprennent le flambeau…
Vous vous trompez, si elles ont cessé, la raison m’apparaît différente, il ne peut en être autrement..
Nous découvrons maintenant quotidiennement des pépites totalement insoupçonnables, dénichées sur la toile, et parfois aussi vite oubliées
Le net n’existait quasiment pas à cette époque, et il fallait avoir un entourage crédible pour découvrir ce genre de titre
Les compils Pure sont ainsi arrivées un beau jour pour enchanter mes oreilles, je faisais des k7 pour tout le monde, vociférais ma joie à chaque nouveau volume, un vrai bonheur vous dis-je..

Les singles de deep funk étaient compilés par Kent ou Goldmine en Angleterre, et avaient leur marque également, mais comment dire…ce funk là venait d’autre part, souvent issus d’album totalement introuvable à l’époque et encore aujourd’hui du reste.
Comme ce titre qui figure sur ce volume 7…en avant dernière plage de la face B
Un titre qui, s’il était joué dans nos églises, ferait la gloire du Vatican, et l’on verrai des queues énormes le Dimanche matin pour assister à ce genre de messe…

Probablement ce que je connais de plus lourd dans le domaine


Rédigé par Michel Guinand le Lundi 3 Mai 2010 à 18:28 | 1 commentaire Notez | 1 commentaire


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